►HOJOU KAZUE ;;
by jung nicole.
►CARTE D'IDENTITÉ ;;
Âge : 19 ans (12/09/91)
Né à : Séoul.
Orientation : Hétéro !
Profession : Vendeuse de gaufres/crêpes (maison e.e) dans sa roulotte extérieur d'un café. Il lui arrive de servir à l'intérieur lorsque les températures sont négatives.
Scolarité : Psychologie, 1ère année, Todai.
Situation : Toute seule =(
Milieu social : moyen limite pauvre.
Ambition : rendre Ryuji fou à lier ? Ou tout simplement plus féminine et devenir toujours meilleure dans l'art des gaufres eOe
►VOYAGE AU CENTRE DU CERVEAU ;;
Kazue, c’est une gueule d’amour mais il ne faut pas se méprendre derrière ses mimiques et ses sourires charmeurs se cachent une personnalité bien différente. Tout d’abord, notre jeune fille n’a pas grand-chose de féminin dans sa façon d’agir, goinfre jusqu’au bout des ongles elle défendra sa denrée à coups de fourchette si cela est nécessaire ! Et ce n’est pas une plaisanterie e.e. Autrement dit : elle n’hésite pas à utiliser la force peu importe la situation. Un vrai bonhomme dans un corps aussi frêle que le sien c’en est presque paradoxale et autant dire qu’elle s’en amuse. Il est toujours délirant d’effrayer les pauvres garçons dénués de force physique et mentale ! Depuis l’enfance Kazue est surnommée Hulk par tous ses camarades de classes. Ne vous étonnez donc pas de la voir se comporter parfois rudement, et d’avoir un sacré répondant ! Il n’empêche que la brunette n’en reste pas moins une femme, parfois sensible aux critiques et la larme facile ! Elle rit bien de ces filles qui ne peuvent se contenir face aux films à l’eaux de roses ou encore, à leurs ongles cassés mais lorsqu’il s’agit de ces propres faiblesses, tout se transforme, et là je vous déconseille vivement de lui faire remarquer son teint blafard, elle risquerait de prendre ça comme une offense et se vexerait méchamment : fierté quand tu nous tiens ! Il semblerait aussi, qu’elle soit un tantinet blasée de la vie, pas toujours très souriante -bien qu’il y ait du progrès depuis ces derniers mois-, elle ne paraît pas très abordable et la première impression est très souvent mauvaise e.e : avec sa tête de déphasée ça n’a rien de bien étonnant. Pourtant c’est une fille adorable, certes un peu violente et dotée d’un humour très spécifique, au moins on ne pourra jamais lui reprocher d’être spéciale ! Légèrement manipulatrice sur les bords, elle n’hésite pas à user de son charme légendaire pour embobiner les pauvres passants et leurs payer ces gaufres e.e, ça les sous c’est sacré ! Et puis bornée en plus la gamine, quand elle veut quelque chose, ce n’est pas un discours lourd et dénué de sens qui la fera flancher ! Mais Kazue ce n’est pas que ça, c’est aussi une demoiselle pleine de ressources, maligne, bien qu’un peu feignante. On sait qu’elle est présente, qu’elle ne nous oublie pas, avec ses petits mots un peu maladroit et sa façon tellement mignonne de s’énerver dès qu’il s’agit d’affection ! Joueuse, attendrissante dans ces moments d’euphorie et bonnes humeurs !
Curieuse de tout, son entourage est d’autant plus variés ! Il y eut une période où l’étudiante portait une coloration rose flashi, une autre où le maquillage envahissait le moindre recoin de son visage : elle a tenté ! Aujourd’hui elle est soft, variant du sac à patate à la semi-coquette -tenue de travail correcte exigée- pour habillée son petit corps mesurant pas plus d’un mètre soixante. Une chance pour elle, Kazue n’est pas bien grosse, mais elle a un ventre de béton du aux exercices qu’elles pratiquent quotidiennement.
►IL ÉTAIT UNE FOIS ;;
Les parents de Kazue n’ont rien d’un couple commun. Tout d’abord monsieur Hôjou n’a pas toujours vécu au Japon, cela ne fait seulement que vingt ans anciennement connu sous le nom de Hôjou Henry, le jeune homme habitué à la culture française portait une affection particulière pour le pays dont ses parents étaient issus. Toutes fois son premier voyage outre terre fut… la Corée du Sud, où il fit escale avant de rejoindre le pays du soleil levant. Durant ce laps très court où il visita rapidement certains recoins de Séoul, Henry fit la rencontre d’une jeune coréenne à la beauté saisissante, il ne se souvient que très vaguement d’elle mais ses yeux l’avaient percuté. Les deux adultes vécurent une nuit plutôt torride, et se quittèrent le lendemain avec seulement le numéro de téléphone de l’autre. Puis la vie reprit son court normale, Henry atterrit sur le territoire japonais, rencontra une japonaise prénommée Erika passionnée de culture française : le coup de foudre ! Autant dire qu’ils ne tardèrent pas à se marier, néanmoins un soucies majeur vint chambouler leur idylle. L’aventure du futur marié passa un coup de téléphone inquiétant au japonais. La nouvelle ? « Ta fille t’attend en Corée, j’aimerais que tu passes pour qu’on puisse en discuter sérieusement. » Vous imaginez l’air décomposé qu’il esquissa ce jour là. Courageux et soutenue par sa douce malgré tout, Henry vola une seconde fois en Corée et rapporta : un bébé. Une petite fille qu’il prénomma rapidement Kazue. La réaction de sa fiancée fut bonne, par chance, et celle-ci accepta de s’occuper de l’enfant comme du sien ! Les années passèrent, Henry troqua son prénom occidental contre un, un peu plus japonais : Hideo. Sans être sans le sou, la famille vécut avec le strict nécessaire, parfois quelques excès pour les grands événements ou autres.
Kazue a toujours été cette petite fille qu’on cajolait peu importe les erreurs qu’elle commettait ! Ce qui est sûr c’est que notre gamine n’a jamais été commune, déjà petite elle préférait faire s’accoupler Barbie et Ken plutôt que de les faire prendre le thé -d’abord c’était la faute du petit voisin d’à coté e.e-. Autrement, bien que tortionnaire envers ses camarades de classes, elle fut une bonne élève tout le long de son cursus scolaire. Bien qu’ayant vécut une adolescence un peu particulière, des périodes de rebellions, cool, ect.. Mais la pire de toutes et celle qui semble s’éterniser malgré les efforts de la belle à se débarrasser de cette addiction… la groupisation ! Vous savez cet état où même avec toute la volonté du monde vous ne pouvez vous contrôlez face aux Dandys asiatiques qui secouent leurs popotins sur des rythmes endiablées, le seul vice que l’on puisse reprocher à notre travestie ! Elle devient une toute autre personne lorsqu’elle se met à visionner des vidéos sur ces artistes favoris, son cœur s’emballe, ses yeux brillent, sa respiration se fait haletante… tous les symptômes d’une pathologie déjà à un stade élevée ! Fort heureusement, certains stades atténuaient cette « maladie », l’époque où elle se retrouva embarquée avec des otakus ou encore des Gyarus, les bikers, etc.. ces lubies ne duraient pas toujours, certaines étaient même très courtes, mais elle voulait apprendre les différents points de vues et surtout trouver un environnement lui correspondant totalement ! Ses parents dans l’histoire ? Bien, du moment qu’elle leur rapportait un bulletin convenable, qu’elle participait à ses cours du soir, ils ne haussaient pas le ton. Néanmoins, comme toute adolescente saine d’esprit -si ça existe en fait-, il lui arrivait de retarder son retour de plusieurs heures pour observer les réactions de ses vieux mais rien… la seule explication qu’ils lui aient été alors donné, fut : « nous te faisons confiance. ». Tant mieux. Ce fut peut être cette déclaration qui calma Kazue dans la recherche de son soi, et tout simplement opter pour la simplicité !
Il y eut ce jour, où ses parents décidèrent de lui avouer la vérité : ta mère biologique n’est pas celle que tu crois. Et là vous vous imaginez comme dans les films, qu’elle serait dépitée de l’apprendre et qu’il y aurait effusion de larmes : hé bien pas du tout ! Avec son calme légendaire -tu parles- Kazue accepta l’information sans sourciller, se resservit même de son plat préféré et leur annonça solennellement qu’elle préférait vivre en compagnie des parents qu’ils l’avaient chéris depuis toujours plutôt que d’une génitrice qu’il l’avait lâchement abandonné par soit disant manque de besoins ! Le repas reprit son court normale, et la vie de la famille continua telle qu’elle. La brunette termina ses années de lycées, et passa l’examen d’entrée pour Todaï haut la main ! Dorénavant, il ne lui restait plus qu’à aller de l’avant, se trouver un petit boulot pour aider ses parents à financer ses études supérieures. Kazue avait d’ailleurs choisi un domaine bien particuliers : la psychologie. Derrière ses apparences de misanthrope, il n’en est rien, au contraire, la japonaise a toujours eu cet intérêt pour les autres, le désir de comprendre les différentes sociétés et les phénomènes, qui parfois, la dépassent. Un peu philosophe dans l’âme il faut croire.
►À BAS LES MASQUES ;;
Pseudo : woopie... again éwè
Âge : 17 ans
Double-compte : Shimizu Jin.
Connexion : 7/7 jours
Un dernier mot : Alors je ne sais pas si elle est trop tôt pour faire un double mais j'avais une furieuse envie de faire ma Kazu' éwè etdeviolerryue.e enfin j'espère que ça ira eoev